lundi 29 octobre 2012

Hypocrisies coloniales



«Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale", tel fut le thème de la grand-messe de la Francophonie qui s'est tenue du 12 au 14 Octobre à Kinshasa, dans ce Congo démocratique dévoré par une guerre civile derrière laquelle prospèrent les doigts de la françafrique et de la Belgique. Au delà de ce thème redondant, le véritable objectif de ce nouvel orgasme de la France et ses nervis n' était pas celui des enjeux économiques de l'Afrique. Les discours lénifiants ont été tenus par le Président normal de la France qui a promis de respecter l'homme Africain (c'est du déjà entendu mais, nous le prenons au mot) qui a juré que désormais "la françafrique est révolue". J'aimerais bien y croire. Il a aussi appelé les états francophones au respect de la démocratie et des droits de l'homme. Quelle hypocrisie de sa part!!!Pourtant dans l'une de ses colonies ouest africaine, la déclaration universelle des droits de l'homme ne sert que de papier de toilette au régime sanguinaire qu'elle a installé. Que fait la France pour la libération de Michel Gbagbo, universitaire franco-Ivoirien et de tous les autres militants du Fpi emprisonnés par le régime françafricain d'Abidjan? La France a t-elle une seule fois condamnée les dérives fascistes de Alassane Dramane en Côte d'Ivoire? Alors que des milliers de jeunes Africains diplômés ploient sous le joug du chômage et de la misère en raison des politiques criminelles mises en place par leurs amis dictateurs, Hollande joue au ninja et se plait à affirmer que "l'Afrique est la jeunesse du monde". J'aimerais comprendre comment un continent martyrisé, humilié et émasculé depuis la colonisation peut-il constituer une dynamique pour le monde? Peut-être faudrait-il comprendre par "jeunesse du monde" un vivier inépuisable des matières premières au service des multinationales sangsues de cette France qui refuse de voir en l'homme noir un être humain à part entière. En filigrane et comme à l'accoutumée, ce sommet de la Francophonie a été une occasion pour la France colonialiste de remettre les mains sur les dirigeants Africains qui nourriraient des velléités souverainistes puis de tancer les récalcitrants à la nouvelle pénétration coloniale aussi. In fine, l'Afrique n'aura récolté de la langue française qu'elle partage avec les descendants gaulois aucune avancée. L'usage de cette langue est plutôt un noeud d'asservissement pour les états francophones d'Afrique et un frein pour ceux-ci vers le chemin du développement. Paul kagamé du Rwanda qui n'est pas un modèle à copier a, au moins, compris l'entourloupe dans laquelle vit la france lorsqu'elle en fait main basse sur la Francophonie qui est le prolongement de la colonisation de nos pays. Après le raout de Kinshasa, chaque dirigeant soumis de l'espace francophone africain est retourné chez lui, auprès de son peuple opprimé; hélas, satisfait de sa présence sur la photo finish prise avec son maître venu de France.  En échange de cette photo, combien de malles d'argent Alassane  Dramane et consorts ont-ils laissé à Hollande?  Kephren Neruda


vendredi 19 octobre 2012

La machine-à-tuer du Dramanistan se déboulonne t-elle?



Dramane, entre nous, tu n'es pas un brave homme !

Dramane Alassane vient de me conforter dans l'idée qu'on peut avoir un appétit pantagruélique du sang d'autrui et paniquer dès qu'une pluie fine s'annonce. Celui que certains de ses laudateurs ont appelé "Bravetchè" (un homme brave) s'est toujours montré un vulgaire couard. Et, quoique consacré Saint Ouattara par la françafrique, cette confrérie nuisible aux forfaits multiples, Dramane a la trouille aux trousses. Puis, sûrement inquiet de ses vies de suceur de sang à Vavoua et à Guitrozon, il chante qu'il est le chef de l'état ivoirien à qui veut bien prêter oreille à ses arguties. Effectivement, en prélude au sommet de la francophonie, Dramane qui fuit son prénom original a encore dit qu'il est indéboulonnable. C'était au Congo lors d'une conférence de presse. Notre homme des airs qui ignore où se trouve la commune d'Abobo dans la ville d'Abidjan a l'habitude de fanfaronner à l'extérieur du périmètre ivoirien. Qui veut-il convaincre en l'espèce qu'il est le chef d'état ivoirien ? Les Congolais ? Les autres Africains ? C'est carrément une blague. Etant donné que le tigre ne crie pas sa "tigritude", un homme qui est sûr qu'il est président d'un pays ne crie pas à chaque seconde de sa vie. Si les Ivoiriens l'ont familièrement surnommé Dora l'impératrice, il doit alors organiser une autre conférence dans les airs et annoncer au ciel qu'il est le président des airs. Il en ressortira une jouissance puérile telle qu'il les aime. A moins que Dramane ait confondu le Congo et Kong en sonorité, il est impératif qu'il sache que le fauteuil ivoirien est sacré. Son vrai propriétaire est connu. Y compris par ceux qui l'ont déporté vers la Haye. Ceux-là mêmes qui viennent à la rescousse de Dramane en inventant des liens entre les résistants ivoiriens et les islamistes d'Ansar Dine avant bien évidemment de se rendre compte que cette ficelle est trop grosse puis de se perdre en démentis. Comme si cela ne suffisait pas, l'opération de déguerpissement des transporteurs et des commerçants d'Abobo qui a tourné en eau de boudin, ajoute à la situation sécuritaire chaotique créée par cette représentation physique du monde du chaos. A Abobo, laboratoire de la guérilla urbaine initiée par la France en début 2011 contre les institutions ivoiriennes, des éléments FRCI reconnus et les syndicats armés se sont tirés dessus au point de prendre en otage trois ministres de la République du Golf. Qui l'eut cru?! Abobo point d'ancrage du commando invisible se retourne-t-il déjà contre son mentor ? Les mêmes causes  produisant les mêmes effets, il est fort à parier que Frankenstein se retournera contre son créateur. Ce qui est prégnant, c'est que Alassane Dramane Ouattara tire à hue et à dia et ne sait par quel bout amorcer son départ définitif d'un pays qui ne le reconnaît pas. Kephren Neruda

vendredi 12 octobre 2012

Ces "amis" de la France qui assassinent la Côte d'Ivoire


Dramane et son visage diabolique


Depuis quelques temps, les projecteurs de la machine-à-tuer du mercenaire de la françafrique sont braqués sur de nouvelles proies.  Dramane Alassane, l'économiste de salon qui ne sait pas décrypter les ressorts d'une monnaie, veut encore quelques litres de sang pour ses libations. Il a décidé que ce sera le sang du brillant Justin Koné Katinan et du général Dogbo Blé Bruno. Dans leur "nouvelle" Côte d'ivoire, un tanker de 200 mètres le long transportant une cargaison de 32.000 tonnes de fioul a disparu mystérieusement au large du port d'Abidjan. Le navire et son contenu ont été détournés au profit des proches de Ouattara-la-solution-manquante. Cela sous le regard complice de l'ONU et de la France qui clament haut et fort que tout se passe bien dans notre si beau pays jadis dont les villages et les villes sont dorénavant transformés par des gueux en patelins moyen-âgeux. Sous le rattrapage ethnique, il est bon de savoir que la nature d'une infraction est tributaire de l'appartenance ethnique et idéologique. La qualification juridique d'un acte délictueux et le quantum des peines varient suivant qu'on est originaire du Nord ou pas. Selon qu'on est pro Rhdp ou partisan de Laurent Gbagbo, la justice est devenue une géométrie très variable en Côte d'ivoire ! Étrangement, dans ce désordre moral, Dramane Baader et sa bande de sanguinaires qui sont couvés par Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères français qui se découvre des amitiés avec un nazi des tropiques alors que, sa famille juive à lui a souffert le martyre sous Adolf Hitler, sont aux anges. Ils détruisent, pillent car le descendant des victimes du nazisme les embrasse et affirme qu'ils sont des gens très bons donc, ils s'en persuadent eux-mêmes. Alassane Dramane Ouattara est très bon pour la Côte d'ivoire et il n'y a rien à changer dans ce pays, c'est ce qu'a affirmé Laurent Fabius. Jean-Marie Le Pen avait-il dit que les chambres à gaz sont un détail de l'histoire de la seconde guerre mondiale que, ceux qui croient qu'ils sont les seuls à réfléchir en France lui sont tombés là-dessus. Je tombe sur Laurent Fabius car ses propos sont irresponsables et dénués de toute intelligence. S'il veut pactiser avec un génocidaire, il doit savoir que Jean-Marie Le Pen a le droit de pactiser avec qui bon lui semble. Tout en sachant que ni lui ni Jean-Marie Le Pen ne sont des personnes pour lesquelles j'éprouve du respect après les propos que l'un et l'autre ont tenus sur les chambres à gaz et sur les dérives tribales qui se déroulent actuellement en Côte d'ivoire. En plus, Dramane et sa bande ne font plus mention du PPTE (Pays Pauvre Très Endetté) annoncé par les congas de la Charte du Nord. Pis, la construction du troisième pont s'est honteusement achevée à la pose de la première pierre. Les Ivoiriens sont accoutumés à leur programme de mensonges et à leur vision tribale de la chose politique. Néanmoins, selon eux et eux seuls, le "pays avance" tout de même. Dramane le génocidaire que Laurent Fabius dorlote sait que sa seule solution réside dans la violence, la force faible comme l'affirme le philosophe Vladimir Jankélévitch. Après réflexion, on revient toujours au constat, amer pour les solutionnistes, que quelqu'un manque à ce pays, qu'une idéologie y plane toujours et que tous nous le savons, d'autant plus que ces raspoutine du pouvoir à Abidjan ne peuvent rien apporter d'original aux Ivoiriens. Même dans le copié-collé, ils n'y arrivent pas. S'ils n'arrivent pas à construire un troisième pont dont les plans étaient déjà tracés et les financements trouvés par Laurent Gbagbo avant leur coup d'état, on se demande bien ce qu'ils pourront faire un jour. Dans la célèbre oeuvre de Sophocle, Antigone s'est rebellée contre l'édit de Créon, son oncle et roi de Thèbes qui lui interdisait d'offrir une sépulture digne à son frère Polynice. Face à cette injustice et à la dictature, Antigone n'est pas restée de marbre, tandis que sa soeur Ismène avait perdu le courage de braver l'interdit en se résolvant à céder à la force. Chacun à son niveau, Ivoiriens de tous bords politiques et de toutes les régions,  il est grand temps, de mettre hors d'état de nuire ce pouvoir génocidaire incarné par le monstre Alassane Dramane Ouattara. Voulons-nous être des Antigone ou des Ismène? Voulons-nous nous affranchir de cette dictature ou la subir ? Démontrons à Fabius que ce qui est bon pour lui n'est pas forcément bon pour nous. Parce que ce qui était bon pour Jean-Marie Le Pen n'était pas forcément bon pour Laurent Fabius. Kephren Neruda

jeudi 4 octobre 2012

Couronnés pour services criminels rendus

Ousmane Coulibaly dit Ben Laden,  l'un des trois criminels de guerre nommés
préfet de région par Dramane Ouattara






















Par décret de rebelle-attitude pris en conseil des criminels, Tuo Fozié, Messamba Koné et Ousmane Coulibaly dit "Ben Laden", tous illettrés, ont été hissés le mercredi 26 septembre 2012 au rang de préfets des régions ivoiriennes du Zanzan, du Moyen Cavaly et du Bas Sassandra. Mais par qui ont-ils eu accès aux clefs de nos préfectures ? Par Dramane des airs bien sûr, le commis de cuisine de l'ambassadeur de France à Abidjan. En tout état de cause,  cette autre date est d'ores et déjà inscrite en noir sur les ardoises blanches de notre pays. En effet, trois criminels, trois voleurs et trois buveurs du sang des Ivoiriens sont aujourd'hui au sommet de l'administration territoriale. Dans un état normal gouverné par des hommes normaux (ceux qui ne sont pas atteints d'une quelconque folie), la fonction de préfet de région constitue le point d'achèvement d'une carrière administrative bien remplie. Elle suppose d'abord un parcours scolaire débouchant sur l'obtention du baccalauréat ; avoir ensuite  fait ses armes dans une grande école et enfin, avoir occupé respectivement les fonctions de sous-préfet, de secrétaire général de préfecture et de préfet. Combien de promotions d'énarques ne sont t-elles pas cloisonnées aux portes de l'administration ? Au motif que tous nos diplômés des écoles supérieures ne sont pas des régions nord de Côte d'ivoire ou encore, qu'ils ne sont pas dans le suivisme, le ouattaramètre, cet appareil criminel né de l'imagination de Dramane a décidé de les exclure des postes pour lesquels ils ont été formés. A leur place, ce sont donc des personnes qui n'ont jamais su  se servir d'un stylo. Et pire, qui ne savent ni lire ni écrire, c'est-à-dire des analphabètes ataviques et chroniques qui ont été cooptés par le monstre de Kong dans le but de continuer à saigner la Côte d'ivoire. Aussi incroyable que cela puisse paraître, quelques Ivoiriens, cependant minoritaires applaudissent et portent en triomphe leur gourou Alassane cornaqué par l'Elysée colonial. A cet acte qui est loin d'être le dernier de la série ouattariste, même les humoristes et les comiques n'arrivent plus à desserrer les dents de la plupart des Ivoiriens qui en ont vraiment marre. Sous la dictature du fou de Kong venu s'installer à Abidjan, seul un curriculum vitae bien étoffé de sang vous ouvre grandement les portes de l'administration. Dorénavant, à toute personne désireuse de briguer une fonction dans l'administration ouattariste, deux questions sont désormais posées."De quel groupe ethnique êtes-vous issu ? Combien de personnes avez-vous tuées durant ces dix dernières années en Côte d'Ivoire ?" Uniquement une réponse motivée à ces questions pourra vous propulser à tous les postes que vous voudrez obtenir. Quoiqu'il en soit, et il faut que le peuple Ivoirien le comprenne une bonne fois pour toutes. Seule l'humiliation de la Côte d'Ivoire et l'exploitation des terres arables, au travers d'une féroce colonisation de peuplement au profit des multinationales dont il est l'estafier intéresse Alassane Dramane Ouattara. Koua Justin de la jeunesse du FPI n'a-t-il pas raison avant beaucoup d'autres lorsqu'il demande aux Ivoiriens de sortir en masse pour mettre fin à la torture morale, physique, psychologique et financière que nous subissons dans notre propre pays de la part de cet autre monstre que l'Afrique a fabriqué et qui se prénomme Dramane ? Kephren Neruda