vendredi 7 septembre 2012

Cher Dramane, assumez vos actes!










Alassane Dramane Ouattara, le géniteur de la rébellion ivoirienne


«La violence est l’œuvre des désespérés» a affirmé, en citant quelque philosophe, Alassane Dramane OUATTARA au retour de ses vacances asiatique et européenne. Cela en référence aux dernières attaques éclatées contre les positions de sa milice Frci. A titre d’épreuve de philosophie au bac, puisque le suppôt de l'occident au bord de la lagune Ebrié a quitté brièvement sa peau de criminel pour celui de philosophe du dimanche, il pourrait en sa qualité de "solutionneur" et de "citeur", soumettre ce thème à nos lycéens en fin de cycle. Encore faudrait-il que madame la Ministre en charge de l’Education Nationale, Candia Kamissoko Kamara ait les moyens intellectuels de cerner l'épreuve avant de la proposer. Evidemment, c'est une autre paire de manches. Si cette pensée empruntée par Alassane Dramane Ouattara à Thomas Hobbes entre autres est d’une grande portée philosophique, le bât blesse au niveau de l’auteur du jour. De deux choses l’une, soit le criminel de la lagune Ebrié, après les différentes attaques perpétrées contre ses arsouilles Frci, veut faire croire au commando non identifié qu’il ne trouvera aucune issue à son projet de déstabilisation de son régime protégé par l’Onuci et la licorne, soit il comprend et réalise (enfin) son désespoir après avoir produit la violence et la chienlit dans ce pays durant deux décennies. Ainsi, le boucher de Duékoué réalise avec regret que la violence ne peut tout résoudre et ne peut avoir qu’un effet momentané car, nul n’en a le monopole. N’étant pas dans l’esprit de cet homme de rien ce jour là, je ne puis me hasarder à entraîner mon raisonnement dans un sens comme dans l’autre. Pour autant, connaissant la nature criminelle de celui-ci, le premier sens serait plausible. Ses compagnons de coup d'état et de rébellion qui l'ont pratiqué, gagneraient à le conseiller autrement. Parce que son désespoir est le leur. Et sa satanée musique philosophique du dimanche doit lui être retournée. Mon cher Dramane, depuis votre arrivée à la primature en 1992, vous n’avez fait qu’endeuiller et profaner la terre de Côte d’Ivoire. Il relèverait de la gageure l’énumération de tous vos actes criminels contre le peuple Ivoirien. Toutefois et par devoir moral, j’en exhumerai quelques uns. Les évènements de la cité Universitaire de Yopougon de 1990, le charnier de Monoko-zohi , la rébellion du 19 septembre 2002, le massacre des  gendarmes à Bouaké en Octobre  2002, le charnier de Duékoué, les massacres des réfugiés du camp de Nahibly. Tous ces exemples macabres vous rappellent sûrement quelque chose. La violence étant l'oeuvre des désespérés, comme l'ont si bien souligné plusieurs philosophes, il ne faut pas aller plus loin pour trouver le désespéré, étant donné que vous êtes naturellement violent. Hier et aujourd'hui, votre parcours l'a montré. Nous vous invitons à bien vous regarder dans la glace qui est située en pleine cuisine de l'ambassade de France où vous jouez les boyhouse. Aujourd’hui que la Côte d’Ivoire est sens dessus dessous, notre seul hôpital psychiatrique de Bingerville ne pourra trouver  de solution à votre pathologie. Désespéré vous êtes donc ! Ne cherchez plus, les philosophes s'adressaient à vous personnellement. N’est-ce pas vous et votre bande armée composée de mercenaires et de broussards de la sous-région, formés puis organisés par la France Chiraquienne d'abord, et ensuite par celle de Sarkozy qui avez « somalisé » la Côte d’Ivoire ? Cher Dramane, la violence n’est pas, dans le cas actuel de la Côte d’Ivoire, un acte de désespoir mais un moyen sinon le moyen le plus efficace d’accession au pouvoir, comme vous l'avez théorisée. De grâce, Alassane Dramane OUATTARA, vous n’avez aucune leçon de démocratie encore moins de philosophie politique à donner aux Ivoiriens car vous n’êtes rien d’autre qu’un criminel propulsé par la françafrique au sommet de l’exécutif du dozoland. Quant à la Côte d'ivoire, ne vous en faites pas, elle était là avant vous. Elle vous observe, vous le désespéré. Kephren Neruda.

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