vendredi 28 septembre 2012

Flagrant délit de mensonges




Alassane Dramane OUATTARA, le concepteur de l'unité de mesure du mensonge



























En restant objectif, on peut battre en brèche l'idée néfaste selon laquelle la politique doit forcément rimer avec le mensonge en quantité industrielle. Dans le genre identité politique et mensonge vont de paire, le PDCI et sa cohorte de grilleurs d'arachides se sont liés corps et âme au malfaiteur Alassane Dramane Ouattara, menteur invétéré puis poltron viscéral. Les actes et faits qui rythment en ce moment la vie politique ivoirienne démontrent que les gangsters installés par la France sarkozyste et hypocritement couvés par François Hollande n'ont pas remporté les élections de novembre 2010 et ne peuvent diriger la Côte d'ivoire. Si Dramane avait réellement gagné les élections en terre ivoirienne, comment admettre que plus d'un an après son dépôt forcé au palais d'Abidjan, il n'arrive toujours pas à contrôler la situation du pays ? Comment comprendre qu'un parti qu'ils disent minoritaire en Côte d'ivoire et dont toute la direction centrale est embastillée dans les goulags du nord, région d'origine des laquais françafricains constitue-t-il une entrave à une paix véritable dans ce pays ? Le diplomate coréen Young jin Choi ne disait-il pas, lorsqu'il faisait ses adieux au pays qu'il a ensanglanté avec sa fameuse certification que Laurent Gbagbo ne représentait plus rien en Côte d'ivoire ? En principe, partant de ce raisonnement, tout devrait aller comme sur des roulettes. Mais que nenni !!! La Côte d'ivoire va mal, très mal même. Et le bilan du fiston septuagénaire et illégal de Nicolas la brute est a-po-ca-lyp-ti-que. Le parti minoritaire de la Côte d'ivoire donne le tournis et rend paranoïaque la fabrication de L'Elysée. Au quotidien, les partisans de Laurent Gbagbo sont arrêtés et emprisonnés quand ils ne sont pas enlevés et conduits  vers des destinations inconnues. Dans les différents hameaux du pays, c'est l'horreur. La mort et le crime estampillé FRCI rôdent. Parmi tant d'autres Ivoiriens et Africains épris de justice, de préceptes démocratiques puis d'indépendance réelle du continent noir, le politicien Sénégalais Noel Malika Seck, Président de Convergence Socialiste a décrit dans une interview accordée récemment à Abidjandirect la véritable nature du préfet de la françafrique. Selon lui,  "Il est évident que le Ouattara brillant économiste qu'on nous a vendu médiatiquement depuis 20 ans s'est évanoui. À sa place, un petit homme sans envergure. Nerveux, vite affolé et brutal par incapacité. Un comptable qu'on prend pour un économiste. Incapable de sécuriser son pays, d'organiser la réconciliation dans la justice et la concorde. C'est en tout cas ainsi qu'il m'apparaît." Notre ami sénégalais a tout dit, aurait résumé l'homme de la rue ivoirienne. Alassane Dramane Ouattara est évidemment affolé par le cadeau que Nicolas lui a fait. Dangereusement, il glisse vers les égouts. Le gbagbo kafissa (entendez Gbagbo est mieux) poussé par les militants du Rdr à chaque fois qu’ils sont déçus du docteur Solutions, n’est plus seulement un cri du cœur mais encore une profonde affliction. Toutefois, si ce personnage brumeux qui a renié un de ses prénoms et qui demain modifiera sûrement son Adn pour mieux se sentir dans sa peau de criminel, ne peut rien apporter de bien à ce pays. Force est cependant d'admettre qu'il a offert à l'humanité, une importante invention. Celle-ci est l'unité de mesure du mensonge : le Ouattaramètre. Kephren Neruda.

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